Speed Food : 21 décembre 2013
19 heures : Munies de leur pochette rouge contenant un verre, le livret de recettes ainsi que des bons permettant une dégustation, les premières personnes venues assister à cette huitième démonstration culinaire du Speedfood.
Les organisateurs, eux, s’affairent déjà depuis plusieurs heures. Certains depuis le matin pour préparer les milliers de verrines qui seront servies ce soir.
Le Speedfood débute par un petit discours du Maître de cérémonie, Alain Mayer, qui résume l'aventure depuis sa création.
Alain Mayer commence par présenter les candidats du Cenon Cook Challenge, le concours de cuisine orchestré par Philippe Alaire. La gagnante de ce concours est récompensée de sa préstation par un repas pour deux personnes au restaurant "Le Saint James".
En guise d’apéritif, les verrines exécutées lors de ce concours sont servies aux quelques 800 spectateurs. Il est important de souligner que toutes ces tapas ont été préparées par les candidats le matin même.
Le premier cuisinier à exécuter sa prestation est Adrien Cachot. Adrien Cachot est le chef de la brasserie "The Rock", c’est aussi le benjamin de l’équipe et c’est pour lui un baptême car c’est la première fois qu’il participe au Speedfood.
Puis ce fut le tour de "Christophe Girardot, consultant culinaire" qui a préparé devant nous des Cannelés salés au potimarron.
Le chef du restaurant "L’oiseau bleu", Fréderic Lafon, lui succéda et réalisa des spaghettis de pomme Agatha.
Thomas Braseleret, depuis peu chef de "La Cape" réalisa, quand à lui, une buche de Noël au foie gras.
Yohan Alias, Chef du "Café Maritime", concocta une brochette de chèvre frais.
Puis ce fut le tour du traiteur Philipe Capdevielle qui réalisa devant nous un tube a essais de capuccino de potiron.
Pour conclure, et en guise de dessert, Nicolas Magie qui est le chef du "Saint James" et qui est aussi à l’origine de cette aventure culinaire, prépara la Passion Potiramisu, Un savant mélange entre le potimarron et le tiramisu.
Les chefs exécutent leur recette avec une rapidité déconcertante pour le simple amateur de cuisine, mais toujours en les expliquant clairement de façon à ce que chacun d’entre nous puisse les reproduire.
Deux cameramen, un sur l’estrade pour les gros plans, l’autre en hauteur pour les plans larges, filment les chefs en pleine action. Les images sont retransmises sur un écran géant, derrière la scène afin que tout le monde puisse suivre l’élaboration des recettes. Pour la première fois cette année, la soirée était retransmise en direct sur le site de la ville. Les personnes qui ne pouvaient se rendre au Rocher avaien la possibilitée de suivre la soirée via Internet.